
Les endorphines estivales s’émoussant, la sollicitation perfide des blogs rehaussés d’images idéales réveille la quête impérissable du soulier ultime, celui de la jubilation souveraine, de la liesse éternelle. La pupille du calcéophile se dilate et s’expose à un strabisme formellement divergent, entre la gourmandise compulsive du sale gosse et la privation consentie, humblement. La résolution…